les plaisirs d'henrxy

  "En écrivant "On nous a donné la terre", "Macario" ou "La nuit où on l'a laissé seul", Rulfo invente un langage qui n'appartient qu'à lui seul, comme l'ont fait Giono, Céline ou Faulkner à partir de leur connaissance de la guerre ou du racisme. La langue de Rulfo porte en elle tout son passé, l'histoire de son enfance. Comme l'a dit son ami des débuts, Efrén Hernandez, Juan Rulfo est un "escritor nato", un écrivain-né. Son oralité n'est pas une transcription, elle est un art, qui incube le réel et le réinvente. C'est cette appropriation qui donne à son écriture la force de la vérité. Le Llano en flammes brûle dans la mémoire universelle, chacun de ses récits laisse en nous une marque indélébile, qui dit mieux que tout l'absurdité irréductible de l'histoire humaine, et fait naître la ferveur de l'émotion, notre seul espoir de rédemption." J.M.G. Le Clézio J'aime beaucoup cet aute

Sam y Ed disfrutan de la buena vida. Ed es editor de una revista de arte italiana y Sam es un quiropráctico de éxito. Pese al amor que se profesan mutuamente, no sienten el más mínimo deseo de conocer los gozosos secretos de la paternidad. Sin embargo, cuando la madre de Scot, un chiquillo de once años, muere de repente, la pareja decide cumplir una promesa realizada años atrás en un velada amenizada por el alcohol. Poniéndose manos a la obra, hacen todo cuanto está en su mano para mentalizarse y preparar su casa para la llegada de Scot. Cuelgan un columpio hecho con una rueda de neumático en el jardín delantero, redistribuyen los muebles, reorganizan sus calendarios laborales y llaman a la escuela del barrio para inscribir al niño, pero pese a sus bienentencionados preparativos, nada en este mundo puede prepararlos para un chico como Scot. Desayuno con Scot es un emotivo viaje a lo desconocido, una novela cómica de ritmo trepidante. Michael Downing desarrolla un ejercicio de inteligen

Ce photographe de 22 ans a quitté sa Grèce natale pour rejoindre notre capitale en apportant dans sa mallette un style très particulier ou la figue masculine tient une place de choix.

photographe américain mort du sida en 1989 à l'âge de 30 ans. autoportraits

«La maladie qui m'a conduit à la réanimation m'a amené plus loin que la réa, bien au-delà du cap Horn, dans ce qu'il convient d'appeler une expérience de mort approchée.Au cours de cette traversée, j'ai vu et entendu toutes sortes de choses. Des monstres, des anges, des paysages et des visages, du vide et du trop-plein, de la compassion, de l'horreur et de l'amour. Aux prises avec un bouleversement constant du temps et de la durée ; quand les jours et les nuits n'avaient plus aucun sens, aucune construction ; lorsque je perdais tout repère ; lorsque je revoyais des moments de ma vie ancienne et de ma vie à venir. Lorsque deux Moi-même s'affrontaient en un dialogue permanent, quand l'un de ces deux Moi disait :. - Tu vas mourir, laisse aller, c'est foutu, tandis que l'autre Moi répliquait :. - Non, bats-toi, il faut vivre.». C'est le récit, dépourvu de toute fiction, d'une expérience vécue. Victime d'une bactérie

Superbes photos de Rick day.Avec son livre pionners,une virée érotique en Amérique.

George Quaintance (Comté de Page (État de Virginie), 2 juin 1902 - Los Angeles, 8 novembre 1957) est un danseur, styliste-coiffeur, photographe, peintre et illustrateur des États-Unis, connu pour ses dessins homoérotiques. Perso j'adore.

Southampton, Angleterre, septembre 1939 : l’Europe entre en guerre, et le Clipper de la Pan American – un fabuleux vaisseau des airs, le plus luxueux hydravion jamais construit – décolle pour la dernière fois vers l’Amérique. A son bord, un lord anglais, fasciste notoire, et sa famille ; une princesse russe ; un couple d’amants ; un beau jeune homme, très intéressé par les bijoux qui ne lui appartiennent pas ; et puis le chef mécanicien, officier irréprochable, soumis au plus odieux des chantages. Durant trente heures de traversée, la tempête va secouer l’appareil. Au-dehors… et au-dedans. Un savoureux cocktail de suspense et d’humour, écrit par le romancier de L’Arme à l’œil et du Code Rebecca. Mené comme une intrigue policière ce roman, se dévore très vite. On reste cependant sur sa faim en se demandant si le jeu en valait vraiment la chandelle. Le roman reste un peu gratuit et ne reste qu’une lecture dépaysante... sans doute l’idéal pour la place cet été !